La jeune femme s’éveilla enfin, elle se souvenait du mariage, de cette promenade dans les jardins puis un grand vide. Toutes ces nuits sans sommeil auprès d’une amie malade, les dernières chevauchées avaient eu raison de sa résistance.
Elle aperçu son mari, lui adressa un sourire :
Mon cœur l’air frais me fera le plus grand bien.